Né en 1958 en Californie, il a vécu, joué et chanté passionnément son blues jusqu’en 96. Il commence la guitare à dix ans, forme en 78 son premier groupe, The Red Lights, rencontre Kid Congo Powers, avec lequel il fonde en 80 The Gun Club.
Il compose presque tout et son chant poétique déchirant et sensuel me touche toujours oui❣ oui❣ oui❣
En 81, Kid Congo rejoint les Cramps et Fire Of Love, avec For The Love Of Ivy (Poison Ivy, guitariste des Cramps), et le torride « Sex Beat », éclate.
Amoureux de Texacala Jones, Jeffrey lance Tex & The Horseheads, mais, ils se battent après les concerts!
Le second album de Gun Club, Miami sort, Gun Club part en Europe.
A Londres, il rencontre l’amour de sa courte vie, Romi Mori, la met à la guitare, recrute le batteur Nick Sanderson pour lequel … elle le quitte…et il retombe à fond dans l’alcool et la dope. Il est atteint d’une cirrhose à 29 ans.
Il se désintoxique, assure de supers concerts, et Mother Juno avec Kid Congo, l’ami revenu, sort.
Son dernier album’ Lucky Jim » parait en 94, Mais, diagnostiqué avec le VIH plus une hépatite, il s’isole chez son père où il s’écroule en 96, foudroyé par une hémorragie cérébrale.
Merci pour ce bel hommage à cet artiste ô combien mésestimé!
Mésestimé, mal aimé, oublié … c’est très, très triste …
😉J’ai trouvé ces archives sur lui , Gun Club, c’est excellent, tout en anglais avec des photos …
https://www.fromthearchives.com/gc/chronology1.html
Je ne connais rien de tout cela, Juliette, désolée…
Bisous.
Bonne après-midi,
Mo
c’est fait pour découvrir aussi 😉 Bise Mo !
J’adore le dernier morceau qui sonne comme un titre des Stones ! 😉
Je l’aime aussi ❣❣❣ (sans penser aux Stones) c’est du pur Jeffrey Lee Pierce ❤