Pas la peine d’avoir des glaçons dans le frigo
pour refroidir nos boissons.
On les cueille en haut de la porte ou on les ramasse à coté du paillasson
C’est bien pratique et ça fait des économies d’eau
C’est la première fois de ma vie que j’ai réussi. à force de la négliger comme on me l’a toujours conseillé, à faire refleurir une orchidée et je n’en suis pas peu fière, elle est si jolie !
Mais son nom qui vient d’Orchis, mot latin dérivé du grec ancien ὄρχις / órkhis, « testicule », du à la forme de ses tubercules souterrains est bien moins poétique que sa délicate beauté …
Comme quoi la beauté est souvent souillée 🤨 par des couillons 🤔
De Dave Allen, le premier quasiment muet, les autres avec un sous titrage Anglais (comme ça vous le réviserez 😎)
Presque 4 ans que Mr Chat, ex-vagabond par obligation, nous a adoptés ainsi que certaines de nos habitudes: dormir au lit, manger dans une assiette, s’asseoir sur une chaise … il rechigne seulement à accepter celle de faire ses besoins dans un endroit approprié et se voit donc contraint, car il est très propre et respectueux, d’aller les évacuer dehors par le moyen du bord, l’échelle, par tous les temps, qu’il pleuve, qu’il gèle, ou qu’il neige.
Et, il reprend alors souvent goût, pour 2 voir 3 jours, à sa vie de chat errant …
Jusqu’à ce que le ventre creux, la fourrure trempée, quelquefois blessé et en manque de câlins Minou rentre au bercail !
La loi, c’est la loi (La legge è legge ) est un film franco-italien de Christian jaque de 1958, avec Fernandel et Toto.
Ferdinand Pastorelli, douanier français, fait respecter la loi dans le village franco-Italien d’Assola tandis que son ami d’enfance, Giuseppe La Paglia, contrebandier italien ne fait que l’enfreindre .Mais Giuseppe découvre que la cuisine où est né Ferdinand est en Italie et le fait savoir, ce qui met le douanier hors la loi, considéré comme déserteur, apatride, mais aussi bigame …
Le dernier Banksky, humoristique, à Bristol, » une femme non masquée éternue tellement fort qu’elle en fait tomber sa canne, son sac et crache même dans un formidable jet de postillons son dentier 😮 »
En juillet dernier dans un wagon du métro Londonien il avait peint des rats qui se fichaient des règles sanitaires. L’un éternuait sur une vitre, un autre se suspendait à une barre en tenant un flacon de gel hydroalcoolique, tandis qu’un troisième faisait du parachute avec un masque.
Encore de l’humour, mais ces rats, effacés par les agents de nettoyage, étaient là pour inciter les usagers du métro à se masquer.
Aachoo !! est aussi inspiré par cette pensée altruiste.
Les petites bêtes ne mangent pas les grosses dit on aux gosses quand ils ont peur d’une bestiole… et bien l’un de ces petits oursins, en état de légitime défense ( pauvre bébête ) devant mes ciseaux a bien failli me crever un œil quand je l’ai ciselé : l’une de ses minuscules épines a sauté à l’intérieur de ma paupière inférieure …heureusement que mon mari a réussi à l’enlever … c’est la première et dernière fois que j’en ouvre, surtout que je n’en suis pas mordue …
Un rock sans paroles qui célèbre la liberté …
Et des pensées pour celles qui tous les soirs retournent dans leurs cages, comme mes voisines.
et un vieux dessin animé, traduit en français, de la série des Silly Symphonies, réalisé par Burt Gillett, sorti en 1931, qui utilise Les Contes de ma mère l’Oye de Charles Perrault et autres comptines comme Humpty Dumpty, Jack and Jill, Little Bo Peep, Little Boy Blue, Little Jack Horner, Old King Cole et Simple Simon.