Elle quitte la demeure qu’elle hante depuis trop longtemps, une demeure avec des habitants en vie d’un ennui mortel, festoyer en compagnie de revenants bons vivants. Une robe resplendissante de blancheur enroulĂ©e autour de son corps, elle survole la ville avec une loupiote, qui soudain s’Ă©teint. D’Ă©pais nuages voilent la lune. Elle continue son chemin Ă l’aveuglette, tout en chantant la peur au ventre « Hou! hou ! Qui aurait l’amabilitĂ© d’Ă©clairer ma lanterne? » Pour toute rĂ©ponse un silence de mort. Elle s’introduit dans une habitation aux signaux lumineux.
Une vision de mĂ©tal noir, l’y accueille.
« Je suis le service d’urgence, ton chant t’a sauvĂ©e, sans lumiĂšre dĂ©licieuse enfant, tu Ă©tais en danger car de mĂ©chants ĂȘtres vadrouillent : Sois heureuse cette nuit et toute ta vie «
Je t’aime dĂ©jĂ Â â€
999 c’est 666 Ă l’envers! j’ai bon lĂ ? đ
Ouiiiiiiii đ t’as tout bon .
Bonjour chĂšre Juliette,
Une histoire tout Ă fait de circonstance!
J’ai bien aimĂ© les morts bons vivants.
Bises.
Bon aprĂšs-midi,
Mo
Vous avez sympathisé ?
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