Il passe la prendre Ă 20h pour dĂ©guster des sushis. En l’attendant elle fume une cigarette, boit un doigt de whisky.
20h30: une retouche de maquillage, une autre clope, 2 longs doigts de whisky l’aident Ă patienter.
21 h: elle finit le paquet de clopes et le fond de bouteille.
22 h: elle se fait du souci, avale de vieux sushis accompagnés de saké.
22h30: elle s’en prend ardemment au cubi de rosĂ©.
23h: un peu dĂ©fraĂźchie elle se refait une beautĂ©, se prend un pied dans le tapis, tombe sur le carreau, s’y fait une grosse bosse.
23h30: elle s’endort d’un sommeil d’ivrognesse. D’impĂ©tueux coups de sonnette l’en tirent. L’effrontĂ© est lĂ qui lui tend un magnifique bouquet de soucis.
DĂ©composĂ©e, elle l’empoigne par son col de veston , vomit dedans les sushis pĂ©rimĂ©s et tout le reste.
Bah, c’est dĂ©gueu !!!đ
đ c’est pour ça que t’as aimĂ© ?
SacrĂ©e Peggy Sue ! đ
Morale de l’histoire : pas la peine d’attendre le malotru, đ
J’aimerais bien savoir ce que l’ami Buddy aurait pensĂ© de ça đ
La bise Ă vous copines et copains â€
Bonjour chĂšre Juliette,
Elle devait ĂȘtre fraiche la Sue… Hi hi… Ah le sketch!
Bisous.
Bon aprĂšs-midi,
Mo
Boire un petit cou, c’est dou
Bon oui-que-end Juliiiette
mai z’il ne faux pas… hiiic ! đ
đ mais il ne faut pas vomir dessous la table ! Bonne journĂ©e LĂ©o